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    Interview

    David Velazco, président de FEDEPAZ

    Interview de David Velazco – 11.05.20

    🇫🇷

    Terre des Hommes France (TDHF) : Cher David, en votre qualité de directeur de FEDEFAZ, vous avez voulu nous alerter sur la RÉSOLUTION SUPRÊME N° 046-2020-IN, en raison de son inconstitutionnalité, qui a été publiée hier au Pérou. Qu’est-ce que cette résolution ?

    FEDEPAZ : Cette Résolution, profitant de la déclaration d’urgence de Covid-19, autorise l’intervention des Forces Armées « en appui » de la Police Nationale du Pérou afin d’assurer le contrôle et le maintien de l’ordre interne ainsi que pour soutenir l’exécution d’opérations policières spécialisées d’interdiction contre les activités minières illégales et les crimes connexes dans le district de la province d’El Cenepa du département de Condorcanqui en Amazonas. Cela nous préoccupe parce que nous pensons, comme ils l’ont fait en d’autres occasions, qu’ils utilisent en fait un prétexte pour essayer de militariser le territoire indigène dans lequel les populations sont opposées à l’activité extractive.

    TDHF : Pour commencer, parlez-nous un peu du district d’El Cenepa, province de Condorcanqui, département d’Amazonas.

    FEDEPAZ : Le district de Cenepa est situé dans la région amazonienne du Pérou, qui est principalement habitée par les indigènes Awajún et Wampis. Le district de Cenepa est situé dans la partie nord du Pérou, à la frontière de la République de l’Équateur. Il s’agit d’un district dans lequel l’activité minière illégale est menée par des personnes de nationalité péruvienne et équatorienne qui entrent illégalement au Pérou. Mais aussi, les activités extractives formelles qui affectent le territoire des peuples indigènes.

    TDHF : Pour bien comprendre : Qu’est-ce qui définit exactement l’exploitation minière comme illégale ?

    FEDEPAZ : L’exploitation minière illégale est définie comme celle qui n’est pas autorisée par les autorités péruviennes et qui est effectuée en dehors de la loi sans aucune sorte de contrôle ou de supervision par les autorités et qui est également très contaminante.

    TDHF : Ces pratiques sont dangereuses pour la population ? Pour l’environnement ?

    FEDEPAZ : Oui, à partir du moment où ils ne sont pas soumis à l’autorisation ou au contrôle des autorités péruviennes, ces gens utilisent des méthodes et des matériaux pour mener des activités minières qui contaminent, qui déboisent cette partie de l’Amazonie, qui affectent la culture et le territoire indigène de la population qui vit dans ces endroits ,générant, en plus, un grand impact sur l’environnement.

    TDHF : Alors aidez-nous à lire entre les lignes : Vous nous disiez qu’en réalité, ils utilisent le prétexte de la protection de l’environnement pour essayer de militariser le territoire indigène dans lequel les populations sont opposées à toute activité extractive (non seulement illégale, mais aussi formelle). Pourquoi les autorités veulent-elles contrôler les populations indigènes?

    FEDEPAZ : Ce qui se passe, c’est que parce que les autorités donnent la priorité à l’activité extractive -parce qu’elles considèrent qu’elle génère un développement économique dans son contexte d’application d’une économie libérale-, elles pensent que les gens se trompent et que s’ils n’acceptent pas l’activité extractive, alors elle doit être imposée. Par conséquent, le dialogue n’est pas la solution choisie mais l’imposition par la force pour la réalisation de ces projets extractifs. Dans cette idée, la première intervention de la police pour réprimer les positions opposées est l’action initiale, si cela ne suffit pas parce que la protestation déborde, ils font intervenir les forces armées.

    TDHF : Outre l’inconstitutionnalité de la loi, pourquoi est-il si alarmant que la police bénéficie du soutien des forces armées dans cette région ?

    FEDEPAZ : Parce que, pour commencer, les forces armées ne devraient pas intervenir dans ces questions car leur fonction est de protéger les frontières du pays et non d’intervenir dans le contrôle social. La possibilité d’intervenir dans le contrôle social est très préoccupante car ils utilisent des armes de guerre létales, ils ne sont pas prêts à utiliser la force mesurée contre les citoyens qui protestent contre la violation de leurs droits. Selon eux, ils neutralisent ainsi la protestation sociale, au lieu de s’en occuper par des canaux de dialogue démocratiques, et imposent des activités extractives, sans véritable contrôle ni surveillance et qui finissent par violer les droits fondamentaux des peuples indigènes.

    TDHF : Quelles sont vos exigences envers le gouvernement péruvien ?

    FEDEPAZ : Qu’elle assume son rôle de garante des droits fondamentaux des peuples indigènes, qui sont affectés par l’activité minière et extractive, qu’elle offre des voies de dialogue et évite les solutions forcées comme faire intervenir les Forces armées dans le conflit social.

    TDHF : Comment la société civile internationale pourrait-elle soutenir vos initiatives ? Soutenir les populations Wampi et Awajun ?

    FEDEPAZ : En envoyant aux autorités péruviennes des expressions de solidarité avec les peuples indigènes, en manifestant publiquement dans leur pays en faveur des peuples indigènes et en censurant les décisions arbitraires de l’État péruvien en la matière et en coopérant aux projets de développement social de ces peuples.

    TDHF : Merci David, pour nous avoir alerté et expliqué toutes les implications qui ne sont pas toujours si faciles à comprendre de l’autre côté de la planète.

    FEDEPAZ : Non, au contraire, merci à la TDHF de nous donner la possibilité de nous adresser à l’opinion publique nationale et internationale mais surtout française.

    🇵🇪

    TDHF : Estimado David, en tu papel de director de FEDEFAZ, quisiste alertarnos de la RESOLUCION SUPREMA N° 046-2020-IN, por su inconstitucionalidad, que fue publicada ayer en Pérou. Que es esta resolución?

    FEDEPAZ : Esta Resolución, aprovechándose de la declaratoria de emergencia por el Covid-19, autoriza la intervención de las Fuerzas Armadas « en apoyo » a la Policía Nacional del Perú con el objeto de asegurar el control y el mantenimiento del orden interno así como para prestar apoyo en la ejecución de operaciones policiales especializadas de interdicción contra la minería ilegal y delitos conexos en el distrito de El Cenepa provincia de Condorcanqui departamento de Amazonas. Ello, nos preocupa porque consideramos, como lo han hecho otras veces, que en realidad usan un pretexto para intentan militarizar el territorio indígena en el cual las poblaciones están opuestas a la actividad extractiva.

    TDHF : Para empezar háblanos un poco del distrito de El Cenepa provincia de Condorcanqui departamento de Amazonas.

    FEDEPAZ : El distrito de Cenepa se encuentra ubicado en la Amazonía de Perú, el cual es habitado fundamentalmente por población indígena Awajún y wampis.

    El distrito de Cenepa ubicado en la parte norte de Perú, limítrofe con la República de Ecuador. Es un distrito en el cual se desarrolla actividad minera ilegal por personas de nacionalidad peruana y ecuatoriana que ingresan de forma ilegal al Perú. Pero, también, actividad extractiva formal que afecta el territorio de los pueblos indígenas.

    TDHF : Para entender bien : Que exactamente define la minería como ilegal?

    FEDEPAZ: Se define como minería ilegal a aquella que no está autorizada por las autoridades peruanas y que se lleva a cabo al margen de la ley sin ningún tipo de control ni fiscalización por parte de las autoridades y que además es altamente contaminante.

    TDHF :Estas prácticas son peligrosas para la población? Para el medio ambiente?

    FEDEPAZ:  Si, desde el momento que no están sujetas a autorizaciones ni al control de las autoridades peruanas, estas personas utilizan métodos y materiales para realizar actividad minera que son contaminantes, que deforestan esa parte de la Amazonía, afectan la cultura y el territorio indígena de la población que habita en dichos lugares ,generando, además, gran afectación al medio ambiente.

    TDHF : Entonces ayúdanos a leer entre las líneas: Nos decías que en realidad usan el pretexto de proteger el medio ambiente para intentan militarizar el territorio indígena en el cual las poblaciones están opuestas a todas las actividades extractivas (no solo ilegal, también formal). Porque las autoridades quieren controlar a los indígenas?

    FEDEPAZ: Lo que sucede es que como las autoridades priorizan la actividad extractiva porque consideran que eso genera desarrollo económico en su contexto de la aplicación de una economía liberal, entienden que los pueblos están equivocados y que si no aceptan la actividad extractiva, entonces, hay que imponerla. Por ello, el diálogo no es la solución sino la imposición por la fuerza para la realización de esos proyectos extractivos. En esa idea la intervención primero de la policía para reprimir las posiciones opuestas es la inicial acción, si ello no es suficiente porque la protesta se desborda, hacen intervenir a las fuerzas armadas.

    TDHF : Además de la inconstitucionalidad de la ley, porque es tan alarmante que la policía tenga apoyo de las fuerzas armada en esta región?

    FEDEPAZ: Porque, para comenzar las fuerzas armadas no deben intervenir en estos temas porque su función es resguardar las fronteras del país y no intervenir en el control social. La posibilidad de intervenir en el control social preocupa sobremanera porque ellos utilizan armas letales de guerra, no están preparados para realizar un uso de la fuerza frente a ciudadanos que están protestando por la vulneración de sus derechos. En su idea, de esa manera neutralizan la protesta social, en lugar de atenderla por canales democráticos de diálogo, e imponen la actividad extractiva, sin control ni fiscalización real y que termina vulnerando los derechos fundamentales de los pueblos indígenas.

    TDHF : Cual son sus demandas frente al gobierno Peruano ?

    FEDEPAZ: Que, asuma su rol de garante de los derechos fundamentales de los pueblos indígenas, que se ven afectados por la actividad minero-extractiva, que tienda canales de diálogo y evite soluciones de fuerza como el hacer intervenir a las Fuerzas Armadas en la conflictividad social.

    TDHF : Como podría la sociedad civil internacional apoyar sus iniciativas? Apoyar las poblaciones Wampi y Awajun?

    FEDEPAZ: Remitiendo, a las autoridades peruanas, comunicaciones de solidaridad con los pueblos indígenas, manifestándose públicamente en sus países en apoyo de los pueblos indígenas y censurando las arbitrarias decisiones del estado peruano en esta materia y cooperando con los proyectos de desarrollo social en dichos pueblos.

    TDHF : Gracias David, por alertarnos y por explicar todas las implicaciones que no son siempre tan fácil a entender desde el otro lado del planeta.

    FEDEPAZ : No, al contrario, las gracias a TDHF por darnos la posibilidad de dirigirnos a la opinión pública nacional e internacional pero particularmente de Francia.

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